
Je me retrouve encore dans un roman de Ogawa Ito (la papeterie Tsubaki) pour ma derniere critique du mois au Japon et surtout pour la journee consacree aux Editions Picquier.
Il faut dire que je la retrouve avec beaucoup de plaisirs, annee apres annee, (le ruban en 2020 et le restaurant de l'amour retrouve en 2018). Et ce dernier n'a pas deroge a la regle !
Hatoko se voit heriter de la papeterie de sa grand mere, se voit enfermer saison apres saison dans la calligraphie. Enfermee, elle ne le sera qu'au debut. Il est vrai que sa...
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